A mon arrivée en Roussillon, j’ai immédiatement craqué pour le muscat d’Alexandrie et, encore aujourd’hui, fidèle à mes premiers émois, je m’obstine à vinifier le muscat à petit grain à la manière d’un Alexandrie…
Je le vendange très mûr, je fais une macération pelliculaire dans le pressoir et je ne vinifie jamais à moins de 16°.